Mettre le gaz en temps d’incertitude, dire merci quand il le faut, dénoncer ce qui ne va pas et dire tout haut ce qui va bien…c’est une vertu du Parti pour l’action -P.A-, le parti du crabe. Alors que les FARDC affrontaient sur le champ de bataille la dernière résistance du M23, à Kinshasa, le bureau politique du P.A dit bravo aux vaillants défenseurs de la nation ainsi qu’à leur commandant suprême
Parti avant-gardiste de la Majorité présidentielle -MP-, le Parti pour l’action -P.A-, affirme tout son soutien aux Forces armées de la République Démocratique du Congo -FARDC- ainsi qu’à leur commandant suprême. Le contraire aurait été aberrant, étonnant, anormal…incompréhensible aux yeux de tous ceux qui se sont déjà habitués aux réactions souvent pointues de ce parti politique à chaque moment que la Nation traverse des moments complexes. Il y a environ une année, alors que la ville de Goma tombait aux mains des rebelles du M23, l’autorité morale de ce parti, Tryphon Kin-kiey, qui se trouvait dans son fief électoral pour dire merci à ses électeurs, avait carrément transformé sa tournée dans le Kwilu en une vaste campagne de mobilisation des ressortissants ce coin du Bandundu contre toute nouvelle incursion sur le territoire RD-congolais.
A Masimanimba, fief du P.A et de son autorité morale, les Ngwashi chantent en chœur: «Kin-kiey ti Kabila, Bandundu ti Kabila». Comme pour dire: «aussi longtemps que Kin-kiey est derrière Kabila, c’est tout le Bandundu qui l’est!». Rien d’exagéré! La capacité pour Kin-kiey de mobiliser en faveur de son boss n’est plus d’aucun doute. Parmi les circonscriptions électorales qui ont tout donné au Raïs le 28 novembre 2011, Masimanimba, l’un des territoires du Kwilu et bastion naturel de Kin-kiey, figure en très bonne place. Kabila y a récolté presque la totalité des toutes les voix, sans partage égal avec qui que ce soit. Alors qu’on le croyait capable de soulever des foules seulement dans son Kwilu natal, il y a peu, Kin-kiey et son parti ont prouvé le contraire. En pleine Kinshasa -ville réputée hostile au Chef de l’Etat et à tous ceux qui le soutiennent-, de manière spontanée, le crabe a drainé une marée humaine en faveur de son boss comme jamais auparavant dans l’histoire des manifestations politiques à la FIKIN. Objectif: dire non à la guerre d’agression et soutenir le Président de la République dans sa vision de convoquer les Concertations nationales en vue de renforcer la cohésion nationale. Quelques mois auparavant, alors que les rebelles du M23 venaient de marcher sur Goma, pendant que tous les partis politiques membres de la MP et de l’Opposition se posaient mille et une questions sur la survie du régime de Kinshasa, le premier son de condamnation est venu du fin fond du Kwilu, précisément de Masimanimba. «Tout le Bandundu doit se lever pour défendre son vote. De même que nous avions dans le passé fait échec à la rébellion de Pierre Mulele, le Bandundu étant le dernier verrou pour atteindre Kinshasa, nous devons aussi barrer la route à celle menée par le M23 au nom de ses mentors étrangers», lançait Kin-kiey à une foule en liesse. Appuyé par Werra Son, Reddy Amisi et King Kester Emeneya, tous musiciens de renom, «Bakala ya Ngolo» avait trois jours durant, électrisé tout le Kwilu pour un soutien sans faille au régime de Kinshasa.
Kabila et les FARDC méritent de la patrie!
Ce mercredi 30 octobre, autour de midi, pendant que les FARDC affrontaient les derniers résidus du M23 à Bunagana, à la frontière avec l’Ouganda, le P.A a de nouveau monté le gaz! Un soutien sans faille à Kabila et aux FARDC. Oui, bravo aux vaillants combattants de l’armée nationale, qu’on ne croyait pas en mesure de tuer même une mouche il y a quelques mois encore. «Vous comprenez le sentiment qui nous anime aujourd’hui après la quasi libération du Kivu des rebelles par nos FARDC. L’autorité morale du P.A, les militantes et militants du P.A, le Bandundu et le pays tout entier disent merci à Dieu-le-père, appellent le commandant suprême des FARDC à ne reculer devant aucun sacrifice pour honorer son serment fait à sa prise de fonction: celui de sauvegarder l’intégrité territoriale et la souveraineté du Congo», affirme le Professeur Joseph Ibongo, SG du P.A, qui livrait à la presse le contenu de la déclaration du soutien au Président de la République et aux FARDC. Puis: «ni l’autorité morale du P.A, ni nos provinces du pays n’avaient jamais douté un seul instant de la déroute des rebelles face à la mobilisation du pays». Mainte fois, dans ses interventions sur les médias locaux et étrangers, Tryphon Kin-kiey s’était toujours montré optimiste quant à la montée en puissance des FARDC, sans non plus répéter que «le M23 est une mauvaise opération pour ceux qui l’ont montée et de ce fait, elle est appelée à disparaitre». On s’y achemine lentement et sûrement. C’est aussi ça un homme politique, savoir rester doit dans ses bottes et surtout, croire toujours en ses convictions peu importe la situation.
La cohésion à pas du géant!
Concertations nationales convoquées et tenues, recommandations entérinées par le Chef de l’Etat, quoi de plus normal que les crabes qui avaient dès le départ soutenu cette idée se félicitent de la cohésion nationale retrouvée. Déjà, avant même la composition du gouvernement en place, KKM, alors reçu en audience par l’informateur Charles Mwando nommé par le Président de la République, avait annoncé la nécessité de mettre en place un ministère en charge de cohésion nationale. C’était presqu’un impératif au regard du climat politique et social de l’époque, juste au lendemain des élections de novembre 2011. Près de deux ans après, le Président de la République prend l’initiative à bras le corps, annonçant la formation d’un gouvernement de cohésion nationale. C’est plus fort que tout! Au lendemain du discours du Raïs devant les deux chambres du Parlement réunies en Congrès, ne demandez pas aux crabes s’ils sont fiers des résolutions issues de ce forum et des mesures annoncées par le Chef de l’Etat. Leur soutien et leur adhésion aux initiatives du Raïs, ils ne le cachent pas du tout. Kabila peut dormir tranquille, le petit soldat de première heure veille au grain!
Henry MBUYI KABEYA
Parti avant-gardiste de la Majorité présidentielle -MP-, le Parti pour l’action -P.A-, affirme tout son soutien aux Forces armées de la République Démocratique du Congo -FARDC- ainsi qu’à leur commandant suprême. Le contraire aurait été aberrant, étonnant, anormal…incompréhensible aux yeux de tous ceux qui se sont déjà habitués aux réactions souvent pointues de ce parti politique à chaque moment que la Nation traverse des moments complexes. Il y a environ une année, alors que la ville de Goma tombait aux mains des rebelles du M23, l’autorité morale de ce parti, Tryphon Kin-kiey, qui se trouvait dans son fief électoral pour dire merci à ses électeurs, avait carrément transformé sa tournée dans le Kwilu en une vaste campagne de mobilisation des ressortissants ce coin du Bandundu contre toute nouvelle incursion sur le territoire RD-congolais.
A Masimanimba, fief du P.A et de son autorité morale, les Ngwashi chantent en chœur: «Kin-kiey ti Kabila, Bandundu ti Kabila». Comme pour dire: «aussi longtemps que Kin-kiey est derrière Kabila, c’est tout le Bandundu qui l’est!». Rien d’exagéré! La capacité pour Kin-kiey de mobiliser en faveur de son boss n’est plus d’aucun doute. Parmi les circonscriptions électorales qui ont tout donné au Raïs le 28 novembre 2011, Masimanimba, l’un des territoires du Kwilu et bastion naturel de Kin-kiey, figure en très bonne place. Kabila y a récolté presque la totalité des toutes les voix, sans partage égal avec qui que ce soit. Alors qu’on le croyait capable de soulever des foules seulement dans son Kwilu natal, il y a peu, Kin-kiey et son parti ont prouvé le contraire. En pleine Kinshasa -ville réputée hostile au Chef de l’Etat et à tous ceux qui le soutiennent-, de manière spontanée, le crabe a drainé une marée humaine en faveur de son boss comme jamais auparavant dans l’histoire des manifestations politiques à la FIKIN. Objectif: dire non à la guerre d’agression et soutenir le Président de la République dans sa vision de convoquer les Concertations nationales en vue de renforcer la cohésion nationale. Quelques mois auparavant, alors que les rebelles du M23 venaient de marcher sur Goma, pendant que tous les partis politiques membres de la MP et de l’Opposition se posaient mille et une questions sur la survie du régime de Kinshasa, le premier son de condamnation est venu du fin fond du Kwilu, précisément de Masimanimba. «Tout le Bandundu doit se lever pour défendre son vote. De même que nous avions dans le passé fait échec à la rébellion de Pierre Mulele, le Bandundu étant le dernier verrou pour atteindre Kinshasa, nous devons aussi barrer la route à celle menée par le M23 au nom de ses mentors étrangers», lançait Kin-kiey à une foule en liesse. Appuyé par Werra Son, Reddy Amisi et King Kester Emeneya, tous musiciens de renom, «Bakala ya Ngolo» avait trois jours durant, électrisé tout le Kwilu pour un soutien sans faille au régime de Kinshasa.
Kabila et les FARDC méritent de la patrie!
Ce mercredi 30 octobre, autour de midi, pendant que les FARDC affrontaient les derniers résidus du M23 à Bunagana, à la frontière avec l’Ouganda, le P.A a de nouveau monté le gaz! Un soutien sans faille à Kabila et aux FARDC. Oui, bravo aux vaillants combattants de l’armée nationale, qu’on ne croyait pas en mesure de tuer même une mouche il y a quelques mois encore. «Vous comprenez le sentiment qui nous anime aujourd’hui après la quasi libération du Kivu des rebelles par nos FARDC. L’autorité morale du P.A, les militantes et militants du P.A, le Bandundu et le pays tout entier disent merci à Dieu-le-père, appellent le commandant suprême des FARDC à ne reculer devant aucun sacrifice pour honorer son serment fait à sa prise de fonction: celui de sauvegarder l’intégrité territoriale et la souveraineté du Congo», affirme le Professeur Joseph Ibongo, SG du P.A, qui livrait à la presse le contenu de la déclaration du soutien au Président de la République et aux FARDC. Puis: «ni l’autorité morale du P.A, ni nos provinces du pays n’avaient jamais douté un seul instant de la déroute des rebelles face à la mobilisation du pays». Mainte fois, dans ses interventions sur les médias locaux et étrangers, Tryphon Kin-kiey s’était toujours montré optimiste quant à la montée en puissance des FARDC, sans non plus répéter que «le M23 est une mauvaise opération pour ceux qui l’ont montée et de ce fait, elle est appelée à disparaitre». On s’y achemine lentement et sûrement. C’est aussi ça un homme politique, savoir rester doit dans ses bottes et surtout, croire toujours en ses convictions peu importe la situation.
La cohésion à pas du géant!
Concertations nationales convoquées et tenues, recommandations entérinées par le Chef de l’Etat, quoi de plus normal que les crabes qui avaient dès le départ soutenu cette idée se félicitent de la cohésion nationale retrouvée. Déjà, avant même la composition du gouvernement en place, KKM, alors reçu en audience par l’informateur Charles Mwando nommé par le Président de la République, avait annoncé la nécessité de mettre en place un ministère en charge de cohésion nationale. C’était presqu’un impératif au regard du climat politique et social de l’époque, juste au lendemain des élections de novembre 2011. Près de deux ans après, le Président de la République prend l’initiative à bras le corps, annonçant la formation d’un gouvernement de cohésion nationale. C’est plus fort que tout! Au lendemain du discours du Raïs devant les deux chambres du Parlement réunies en Congrès, ne demandez pas aux crabes s’ils sont fiers des résolutions issues de ce forum et des mesures annoncées par le Chef de l’Etat. Leur soutien et leur adhésion aux initiatives du Raïs, ils ne le cachent pas du tout. Kabila peut dormir tranquille, le petit soldat de première heure veille au grain!
Henry MBUYI KABEYA