Les habitants des communes de Ngaba, Makala, Limete et Kalamu saluent la vitesse avec laquelle les travaux de réhabilitation de l’avenue Université évoluent. Exécutés par l’Office de voirie et drainage -OVD- avec le financement du gouvernement de la République, ces travaux s’inscrivent dans la droite ligne du programme d’urgence des 100 premiers jours du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi.
Longue de 6,90 Km, cette avenue qui part de la 1ère rue Limete jusqu’à l’Université de Kinshasa subit, depuis le lancement des travaux du programme d’urgence des 100 premiers jours du Président de la République, un véritable coup de pioche. De Yolo médical jusqu’à l’arrêt Kapela, cette voie a changé de visage. Les agents de l’OVD et leurs engins sont en action sous le regard satisfaisant des passants et des populations environnantes. Les caniveaux détruits sont reconstruits. La route elle-même subit des métamorphoses. La chaussée et ses emprises subissent des coups de pioches pour les rendre véritablement en état. Un ingénieur de l’OVD qui a requis l’anonymat a rassuré que la route sera opérationnelle dans deux mois à moins que les intempéries fassent défaut. L’évolution des travaux ne fait que réjouir les habitants des communes traversées par cette grande artère à savoir Lemba, Ngaba, Makala, Limete et Kalamu.
«En moins de trois semaines, ces travaux sont passés du Rond-point Yolo médical à l’arrêt Kapela. Cette manière de travailler de l’OVD nous rassure que toute l’avenue sera remise en état en un temps record», a déclaré une femme d’une cinquantaine révolue qui vend ses pains juste au croisement des avenues Kwilu et Université. Des jeunes trouvés à l’arrêt Kapela ne cessent de jeter des fleurs au Président de la République pour son programme d’urgence qui a fait que l’avenue Université redevienne fréquentable.
Il convient de signaler que la détérioration de cette avenue date de plusieurs années. Les travaux qui ont toujours été lancés pour sa réhabilitation n’ont jamais connu de suite. Les 100 premiers jours du Chef de l’Etat tombent à point nommé.
Fabien KALONGO et Précilia BANGALA