«Kinshasa horizon 2050, 3 pôles- 4 villes pour la province de Kinshasa, une réponse pour sa gestion» est le thème retenu pour la 5ème édition du Salon Expobeton prévu du 1er au 4 décembre 2021 au nouveau Musée national à Kinshasa. «Initialement programmé du 23 au 25 novembre au Pullman Grand Hôtel, ce plus grand salon de la construction en RD-Congo a dû être décalé en raison d’occuper le plus d’espace possible car cette édition a suscité un engouement dans le chef des partenaires», a indiqué Philippe Katumba, chargé de communication de ce grand forum d’échanges et d’opportunités.
Placée sous le haut patronage du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo avec l’accompagnement du Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde et du ministre d’Etat de l’Aménagement du territoire, Guy Loando Mboyo, la 5ème édition d’Expobeton va rassembler plusieurs exposants, acteurs publics et privés, professionnels tant nationaux qu’internationaux, conférenciers ainsi que des partenaires des institutions notamment le gouvernement de la République.
«Le rendez-vous est une aubaine d’opportunités existantes dans le développement des infrastructures tels que ports, ponts, routes, rails… faisant de Kinshasa une province avec quatre villes, à savoir: ville Nord, ville Sud, ville Est et ville Ouest», a-t-il souligné. Et de poursuivre: «ce rendez-vous des bâtisseurs mettra l’accent sur le développement de la ville province de Kinshasa en trois pools de croissance à l’horizon 2050».
Outre les conférences-débats, les expositions et la vente promotionnelle, la 5ème édition d’Expobeton organisera également un atelier qui se tiendra entre les institutions financières, la SFI Groupe Banque mondiale sur le financement du logement et les fondamentaux réglementaires. Le clap de fin de l’événement remettra des prix aux meilleurs étudiants et gagnants de la tombola «Lopangu» offerte par STRATIMMO. Un soutien sans faille du gouvernement est à mettre à l’actif de cette 5ème édition de Expobeton avec comme objectif de développer et moderniser les infrastructures.
Christian BUTSILA
