«Nous allons continuer à donner espoir aux retraités comme nous le recommande le Chef de l’Etat et nous avons l’accompagnement permanent du Gouvernement central», a rassuré le n°1 de l’INSS
A travers le monde aujourd’hui, on parle de plus en plus de la sécurité sociale dynamique. Agnès Mwad Nawej Katang, Directeur général de l’Institut national de sécurité sociale -INSS-, a dit ne pas vouloir être en marge de cette vision digne des grandes caisses de sécurité sociale.
C’est tout le sens qu’il faut donner au réajustement du minima des prestations sociales payées aux retraités. Elle tient dit-elle à continuer avec cette politique parce qu’elle ne conçoit pas l’existence de l’INSS si les retraités du régime général n’y trouvent pas le compte.
L’évaluation des ajustements opérés jusque là démontre que l’INSS contribue à la réduction de la pauvreté en RD-Congo où les retraités en milieux ruraux bénéficient trimestriellement d’USD 160. Grâce à cette prestation, plusieurs familles ont pu en 2013 et 2014 retourner leurs enfants à l’école. Enseignements financés avec les prestations de leurs grands parents. Cette amélioration a permis aussi aux retraités eux-mêmes d’accéder aux soins médicaux dans les centres de santé ruraux. La vie a repris. Aujourd’hui, à la fin de chaque trimestre, le regard des retraités et leurs familles voire même les agents de l’Etat et les commerçants ruraux attendent l’arrivée des agents de l’INSS.
Agnès Mwad rend un hommage particulier au Président de la République Joseph Kabila Kabange parce que, indique-t-elle, si l’INSS peut atteindre les retraités dans la RD-Congo profonde c’est grâce aux infrastructures routières permettant la mobilité des agents commis aux paiements des prestations sociales.
A la question de savoir si le ralentissement de l’activité économique avec la chute du prix du cuivre sur le marché international n’aura pas une incidence sur les réalisations et le paiement à termes échus des prestations sociales surtout là où la grande partie des recettes viendraient de l’activité minière de la province du Lualaba, Agnès Mwad y répond sans détours. En effet, explique-t-elle, c’est à des moments de turbulences financières que l’on découvre les grandes caisses de pensions. Il ne faut pas oublier que ce sont les Caisses de sécurité sociale qui ont permis aux États à travers le monde de faire face à la grave crise financière il y a à peine 5 ans.
Donc, la situation est sous contrôle au niveau de l’INSS pas de panique. «Nous allons continuer à donner espoir aux retraités comme nous le recommande le Chef de l’Etat et nous avons l’accompagnement permanent du Gouvernement central. Les gens ne s avent peut être pas que son Excellence Monsieur le Premier ministre suit de plus près les activités de l’INSS, ce qui n’était pas le cas dans le passé. C’est un réconfort pour nous de nous sentir suivi et encadrer par les institutions de la République. C’est un motif de soulagement, et cela nous a beaucoup manqué par le passé», a rassuré Agnès Mwad.
Laurent OMBA
A travers le monde aujourd’hui, on parle de plus en plus de la sécurité sociale dynamique. Agnès Mwad Nawej Katang, Directeur général de l’Institut national de sécurité sociale -INSS-, a dit ne pas vouloir être en marge de cette vision digne des grandes caisses de sécurité sociale.
C’est tout le sens qu’il faut donner au réajustement du minima des prestations sociales payées aux retraités. Elle tient dit-elle à continuer avec cette politique parce qu’elle ne conçoit pas l’existence de l’INSS si les retraités du régime général n’y trouvent pas le compte.
L’évaluation des ajustements opérés jusque là démontre que l’INSS contribue à la réduction de la pauvreté en RD-Congo où les retraités en milieux ruraux bénéficient trimestriellement d’USD 160. Grâce à cette prestation, plusieurs familles ont pu en 2013 et 2014 retourner leurs enfants à l’école. Enseignements financés avec les prestations de leurs grands parents. Cette amélioration a permis aussi aux retraités eux-mêmes d’accéder aux soins médicaux dans les centres de santé ruraux. La vie a repris. Aujourd’hui, à la fin de chaque trimestre, le regard des retraités et leurs familles voire même les agents de l’Etat et les commerçants ruraux attendent l’arrivée des agents de l’INSS.
Agnès Mwad rend un hommage particulier au Président de la République Joseph Kabila Kabange parce que, indique-t-elle, si l’INSS peut atteindre les retraités dans la RD-Congo profonde c’est grâce aux infrastructures routières permettant la mobilité des agents commis aux paiements des prestations sociales.
A la question de savoir si le ralentissement de l’activité économique avec la chute du prix du cuivre sur le marché international n’aura pas une incidence sur les réalisations et le paiement à termes échus des prestations sociales surtout là où la grande partie des recettes viendraient de l’activité minière de la province du Lualaba, Agnès Mwad y répond sans détours. En effet, explique-t-elle, c’est à des moments de turbulences financières que l’on découvre les grandes caisses de pensions. Il ne faut pas oublier que ce sont les Caisses de sécurité sociale qui ont permis aux États à travers le monde de faire face à la grave crise financière il y a à peine 5 ans.
Donc, la situation est sous contrôle au niveau de l’INSS pas de panique. «Nous allons continuer à donner espoir aux retraités comme nous le recommande le Chef de l’Etat et nous avons l’accompagnement permanent du Gouvernement central. Les gens ne s avent peut être pas que son Excellence Monsieur le Premier ministre suit de plus près les activités de l’INSS, ce qui n’était pas le cas dans le passé. C’est un réconfort pour nous de nous sentir suivi et encadrer par les institutions de la République. C’est un motif de soulagement, et cela nous a beaucoup manqué par le passé», a rassuré Agnès Mwad.
Laurent OMBA