Deux membres d’un commando recruté par un certain Jean-Marie pour liquider le gouverneur du Bas-Congo sont aux arrêts et un procès en flagrance s’est ouvert au Parquet de grande instance de Matadi.
Il était une fois un certain jeudi 07 novembre 2013, des criminels assassinaient Jacques Mbadu, gouverneur en exercice de la province du Bas-Congo… voilà ce que l’histoire récente de la RD-Congo en général et celle de Ne-Kongo en particulier devait peut être retenir de cette date qui a failli être macabre pour la riche province portuaire du pays. Le jeudi 07novembre 2013, dans l’avant-midi, alors que le gouverneur vaquait tranquillement à ses occupations, dehors, dans son parking, l’attentaient des visiteurs peu ordinaires. Des hommes armés non identifiés, camouflés dans une voiture Toyota Carina de couleur grise immatriculée 3308A/10, observaient et attendaient patiemment la sortie du Gouv’ pour exécuter leur sale besogne. Et pour cela, ils avaient un arsenal d’armes de point capables de faire l’affaire!
A Matadi, ville portuaire et capitale de la province du Bas-Congo, l’entreprise criminelle a failli tourner en plein régime et ôter la vie au gouverneur de la province, Jacques Mbadu. N’eut été la vigilance des policiers commis à la sécurisation du cabinet du Gouv’, on aurait connu le pire. Heureusement tout le sang n’est pas à verser inutilement, celui de Mbadu est lourd et le gouv’ est innocent. En fait, d’après plusieurs témoignages, lorsque les criminels à bord de cette voiture se sont aperçus qu’un policier les observait, ils se sont calmement déplacés vers le parking SOCIMEX situé dans les environs des anciens bureaux de la poste centrale de Matadi, en diagonal du cabinet du gouverneur. Le vigile qui avait dès le départ remarqué le caractère suspect de ce véhicule peut habituel dans le jardin du cabinet de Mbadu n’a pas du tout abdiqué.
Il a suivi les criminels jusque dans leur nouveau parking, juste en bas du bureau de l’autorité provinciale. Constant l’arrivée du policier, les suspects tentent de prendre le large. Trois d’entre eux réussissent à s’enfuir avant l’arrivée des renforts. Deux autres sont arrêtés pendant qu’un fusil de marque Uzzi, une arme AK 47, un pistolet GP, des minutions 9 mm, du lubrifiant pour canon à fusil et un appareil de communication utilisé au sein de la Police nationale sont découverts à l’intérieur de la Toyota Carina. De même, plusieurs cartes d’identités appartenant à l’un des individus appréhendés et autres cartes sims ont été également saisies. Des preuves d’un attentant manqué contre le gouv’ sont là! Mais pas la peine de se précipiter pour l’affirmer. Il faut juste un peu de patience pour s’en rendre compte. Cette fois-ci, au Parquet de grande instance de Matadi où les deux arrêtés ont été conduits pour être jugés.
Jacques Mbadu, gouverneur de province accompagné du premier président de la Cour d’appel et du procureur général près la Cour d’appel de Matadi s’est rendu sur place pour constater lui-même la gravité de cette affaire. Il a vu les armes et autres effets saisis. Juste après son départ, un procès en flagrance a été organisé et des individus appréhendés jugés. La sentence n’est pas encore tombée. Elle est attendue avec beaucoup d’impatience par tous les Ne-Kongo, un peuple réputé pacifique et hospitalier. Selon les premiers éléments recueillis, un certain Jean-Marie serait le commanditaire de ce crime manqué qui a failli endeuiller toute la province. Des observateurs pointent du doigt la maffia qui avait élu domicile dans les différents secteurs de production de la province. C’est évident!
Depuis qu’il est aux affaires, Mbadu a bouché presque tous les trous par lesquels des individus s’enrichissaient au détriment de cette riche province qui est en quête des moyens pour son développement. Sa dernière frappe contre son ministre provincial de l’Agriculture et du Développement rural qui s’était compromis dans la gestion des fonds alloués à la Campagne agricole 2013-2014 en dit long! On note également un encadrement strict des recettes issues des péages sur toute l’étendue de la province. Ce qui n’avait pas été le cas il y a plusieurs années. Ceci ne pouvait que révolter tous ceux à qui Mbadu a ravi le bifteck dans la bouche.
HMK
Il était une fois un certain jeudi 07 novembre 2013, des criminels assassinaient Jacques Mbadu, gouverneur en exercice de la province du Bas-Congo… voilà ce que l’histoire récente de la RD-Congo en général et celle de Ne-Kongo en particulier devait peut être retenir de cette date qui a failli être macabre pour la riche province portuaire du pays. Le jeudi 07novembre 2013, dans l’avant-midi, alors que le gouverneur vaquait tranquillement à ses occupations, dehors, dans son parking, l’attentaient des visiteurs peu ordinaires. Des hommes armés non identifiés, camouflés dans une voiture Toyota Carina de couleur grise immatriculée 3308A/10, observaient et attendaient patiemment la sortie du Gouv’ pour exécuter leur sale besogne. Et pour cela, ils avaient un arsenal d’armes de point capables de faire l’affaire!
A Matadi, ville portuaire et capitale de la province du Bas-Congo, l’entreprise criminelle a failli tourner en plein régime et ôter la vie au gouverneur de la province, Jacques Mbadu. N’eut été la vigilance des policiers commis à la sécurisation du cabinet du Gouv’, on aurait connu le pire. Heureusement tout le sang n’est pas à verser inutilement, celui de Mbadu est lourd et le gouv’ est innocent. En fait, d’après plusieurs témoignages, lorsque les criminels à bord de cette voiture se sont aperçus qu’un policier les observait, ils se sont calmement déplacés vers le parking SOCIMEX situé dans les environs des anciens bureaux de la poste centrale de Matadi, en diagonal du cabinet du gouverneur. Le vigile qui avait dès le départ remarqué le caractère suspect de ce véhicule peut habituel dans le jardin du cabinet de Mbadu n’a pas du tout abdiqué.
Il a suivi les criminels jusque dans leur nouveau parking, juste en bas du bureau de l’autorité provinciale. Constant l’arrivée du policier, les suspects tentent de prendre le large. Trois d’entre eux réussissent à s’enfuir avant l’arrivée des renforts. Deux autres sont arrêtés pendant qu’un fusil de marque Uzzi, une arme AK 47, un pistolet GP, des minutions 9 mm, du lubrifiant pour canon à fusil et un appareil de communication utilisé au sein de la Police nationale sont découverts à l’intérieur de la Toyota Carina. De même, plusieurs cartes d’identités appartenant à l’un des individus appréhendés et autres cartes sims ont été également saisies. Des preuves d’un attentant manqué contre le gouv’ sont là! Mais pas la peine de se précipiter pour l’affirmer. Il faut juste un peu de patience pour s’en rendre compte. Cette fois-ci, au Parquet de grande instance de Matadi où les deux arrêtés ont été conduits pour être jugés.
Jacques Mbadu, gouverneur de province accompagné du premier président de la Cour d’appel et du procureur général près la Cour d’appel de Matadi s’est rendu sur place pour constater lui-même la gravité de cette affaire. Il a vu les armes et autres effets saisis. Juste après son départ, un procès en flagrance a été organisé et des individus appréhendés jugés. La sentence n’est pas encore tombée. Elle est attendue avec beaucoup d’impatience par tous les Ne-Kongo, un peuple réputé pacifique et hospitalier. Selon les premiers éléments recueillis, un certain Jean-Marie serait le commanditaire de ce crime manqué qui a failli endeuiller toute la province. Des observateurs pointent du doigt la maffia qui avait élu domicile dans les différents secteurs de production de la province. C’est évident!
Depuis qu’il est aux affaires, Mbadu a bouché presque tous les trous par lesquels des individus s’enrichissaient au détriment de cette riche province qui est en quête des moyens pour son développement. Sa dernière frappe contre son ministre provincial de l’Agriculture et du Développement rural qui s’était compromis dans la gestion des fonds alloués à la Campagne agricole 2013-2014 en dit long! On note également un encadrement strict des recettes issues des péages sur toute l’étendue de la province. Ce qui n’avait pas été le cas il y a plusieurs années. Ceci ne pouvait que révolter tous ceux à qui Mbadu a ravi le bifteck dans la bouche.
HMK