Le Fonds de promotion de l’industrie -FPI- se lance dans une logique de renforcement des capacités à un niveau élevé de son personnel. Sur fonds propres, cet établissement public a envoyé aux études 30 de ses agents et cadres à la prestigieuse université de Moncton au Canada. Au terme de trois années de formation, le premier groupe constitué de 5 récipiendaires ayant obtenu la maitrise en administration des affaires a été honoré, dimanche 30 mai à Kinshasa, à la faveur d’une cérémonie symbolique retransmise en directe organisée par la Direction générale du FPI, en présence d’un des professeurs de l’université de Moncton qui a fait le déplacement de la capitale RD-congolaise.
Dans son mot de circonstance, le Directeur général du Fonds de promotion de l’industrie, Patrice Kitebi, a indiqué que le capital le plus important pour le développement d’un pays, c’est le facteur humain. «Le FPI nouveau ne ménagera aucun effort pour mettre au cœur de son management les ressources humaines afin de posséder des agents et cadres œuvrant dans l’excellence et possédant un sens éthique avéré», a promis Patrice Kitebi.
Trente agents et cadres du Fonds de promotion de l’industrie -FPI- ont été inscrits, sur fonds propres du FPI, au deuxième cycle de la maitrise en administration des affaires à l’université de Moncton au Canada. 5 parmi eux ont achevé leur formation et ont été honorés, dimanche 30 mai 2021 à Kinshasa, par la Direction générale du FPI, à la faveur d’une cérémonie à laquelle a pris part l’un des formateurs de Moncton, Jean Pierre Booto, qui préféré faire le déplacement de Kinshasa. Dans son mot de circonstance, le Directeur général du FPI, Patrice Kitebi, a souligné que le capital le plus important pour le développement d’un pays, c’est le facteur humain. A l’en croire, le FPI nouveau ne ménagera aucun effort pour mettre au cœur de son management les ressources humaines afin de posséder des agents et cadres œuvrant dans l’excellence et possédant un sens éthique avéré.
«De ce premier groupe de 30 récipiendaires, 5 ont été honorés ce jour mais d’ici la fin de l’année, plus de vingt autres vont obtenir leurs maîtrises en administration des affaires de la prestigieuse université de Moncton au Canada», a-t-il indiqué, tout en rassurant que ces maitrisards ont aujourd’hui la lourde charge de se distinguer dans leurs savoir-faire, savoir être et savoir acquis.
Prenant la parole au nom de tous les récipiendaires, le chef de la promotion, Patrick Mbungu, a remercié la Direction générale du Fonds de promotion de l’industrie qui a totalement pris en charge cette session. Il a rassuré que maintenant ils sont mieux outillés pour améliorer le modèle de gestion de l’entreprise avec des propositions pour consolider les réformes qui sont déjà mises en place au sein du FPI afin qu’elle puisse réaliser pleinement son mandat. «S’il y a bien quelque chose que nous avons appris à faire durant nos études à Moncton, c’est travailler en équipe. Rappelez-vous de comment nous devions gérer les décalages horaires pour rendre nos devoirs à 23h59, heure de Moncton, et 3h59, heure de Kinshasa, et de comment cela devenait compliqué lorsque certains collègues étaient en mission de service à l’étranger ou à l’intérieur du pays, ou quand d’autres ne pouvaient pas rendre leurs travaux aux dates convenues au sein du groupe de travail à cause des tâches de direction ou autre. Malgré toutes ces contraintes, nous remettions nos devoirs à temps et, la plupart du temps, nous obtenions de bonnes notes», a témoigné le chef de promotion.
Et d’ajouter: «cette culture d’esprit d’équipe, nous devons la conserver et la faire nôtre car, comme l’a dit l’industriel Henry Ford, se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite». Selon la haute direction du FPI, un deuxième groupe d’agents et cadres est en train de se constituer pour une autre session du deuxième cycle en maitrise toujours en administration des affaires. Et dans le même cadre de renforcement des capacités, d’autres agents et cadres de cet établissement public sont en formation à Kinshasa sur la stratégie d’entreprise avec l’Institut français Thémis.
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