
Deux professeurs dirigeants des Centres de recherche en RD-Congo accusent faussement, via certains médias, le ministre de la Recherche scientifique et innovation technologique. Selon «scooprdc.net» qui a relayé cette information, le seul péché du ministre José Mpanda, c’est son souci de vouloir remettre de l’ordre dans les deux centres de recherche dirigés par ces deux professeurs. Il s’agit du CNPRI et du CGEA.
Dans leurs allégations, ils soutiennent que José Mpanda aurait ponctionné arbitrairement une quotité auprès de centres de recherche, engagerait pléthoriquement et anarchiquement ses frères et proches dans les centres, et signerait un arrêté frauduleux pour définir les attributions du CNPRI et CGEA. Dans sa publication, “scooprdc” renseigne que le vrai problème du ministre José Mpanda avec le CGEA, c’est son refus de se faire dompter par la corruption souvent utilisée par le professeur dirigeant de ce centre, pour acheter les différents ministres de sa tutelle.
L’autre fait ayant occasionné cette espèce d’acharnement, c’est lorsque José Mpanda lui déchargera de la fonction d’officier de liaison auprès de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique -AIEA- pour lui éviter le cumul de fonctions. Un mouvement que le professeur n’a pas digéré. Puis, ce professeur ne supportera pas que José Mpanda remette le Comité national de prévention contre les rayons Ionisants -CNPRI- dans ses droits piétinés depuis sa création en 2002 par le CGEA, à travers le «Manuel des procédures de la traçabilité des produits miniers d’exportation». Ici, rappelons que pour ce travail de définition claire de compétences entre le CGEA et le CNPRI, José Mpanda avait reçu des félicitations par écrit du Premier ministre Sylvestre Ilunkamba.
Selon les éléments d’informations avancés par ce site d’informations, l’arrêté incriminé faussement du 10 janvier 2021 portant modalités pratiques d’interventions du CNPRI et du CGEA dans le manuel des procédures de traçabilité des produits minières de l’extraction à l’exportation ne viole aucune disposition, ni administrative ni légale. Car, le ministre des finances et celui des mines ont été associés à cette démarche sur injonction du Premier ministre et les travaux de la commission mixte ont été dirigés pendant un mois par le secrétaire général aux mines dont le rapport a servi au ministre Mpanda de prendre son arrêté.
“Et si cet arrêté est notifié en retard aux concernés comme le prétend-on, c’est le travail du Secrétariat général et non du cabinet du ministre. Là donc, pas de débat”, lit-on dans l’article de “scooprdc.net”.
Concernant l’autre professeur de l’IGC, la guerre est née le jour que José Mpanda lui a enjoint d’annuler tous les contrats liés à la spoliation de la concession de l’IGC. Pour ceux qui l’ignorent, le ministre José Mpanda quitte son ministère par la grande porte surtout pour avoir réalisé beaucoup de ses promesses faites. Notamment le redémarrage en plein processus du réacteur Trico II du CGEA – CREN-K visiblement saboté par son commissaire hydrologue; la viabilisation du CNPRI qui désormais, bénéficie d’une contrepartie en numéraire pour toutes les prestations fournies aux formations médicales utilisant les sources de rayonnements ionisants avec une rétrocession de 15% des recettes réalisées au ministère de la Santé; la résurrection de l’INERA après plus de 20 ans de léthargie avec le projet sur le renforcement de la résilience et du bien-être de petits producteurs agricoles pendant et après la pandémie à Covid-19 en RD-Congo, financé à hauteur de 2 millions par le gouvernement de la République dont 1,2 déjà décaissés.
Le même INERA doit sa reconnaissance à José Mpanda qui, par son combat, est parvenu à faire libérer son immeuble occupé par le ministère de l’Environnement depuis près de 50 ans.
OK