A l’issue de son congrès de trois jours à Kinshasa, FSIR se retire de la Majorité présidentielle et demande à son président national, Chérubin Okende, de démissionner de son poste de communicateur.
Chérubin Okende dit se plier à la decison du Congrès, organe suprême de son parti.
Okende était en froid depuis quelques temps. Il avait déjà rédigé un ouvrage dans lequel il avait dénoncé les dérapages de la Majorité au pouvoir.
Barick BUEMA