Né de l’union de Madame Adolphine Lutonadio Vita et de feu Monsieur Puala Nitu Filo Nathan, Blaise Puala Mamengi qui a vu le jour un certain 03 août à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, est 4eme d’une fervente famille catholique de six (6) enfants dont il est le 2eme de deux garçons nés en intersection de 2 filles avant comme après.
En 2001, il décroche son diplôme d’Etat en latin philo, option littéraire, et de ce fait, il devient encadreur du cours de français à l’ONGD « Africa in memoriam » jusqu’à 2003. De 2003 à 2005, il a œuvré en qualité d’encadreur de Latin pour les classes de 4eme, 5eme et les finalistes des examens d’Etat.
Dans l’entretemps, il poursuivra ses études supérieures en Droit à l’ISPL/UCCM où, après sa deuxième année d’études, il apprend la philosophie en lieu et place des Relations Internationales son deuxième choix ; pour enfin se décider, un beau jour, de faire le journalisme à l’Institut Facultaire des Sciences de l’Information et de la Communication, IFASIC/ISTI et intègre ainsi la rédaction de la Télévision Educative, Congo Education Broadcasting System, CEBS tv, récemment créée, où il débuta en 2005 comme journaliste stagiaire, puis collaborateur pour enfin être confirmé chef de rubrique culture à la rédaction Télé et Radio de CEBS et aussi membre actif de l’équipe rédactionnelle et d’encadrement des stagiaires de 2006 à 2009. Il est l’un des pionniers de cette télévision éducative.
Il y a lieu de signifier que Blaise Puala Mamengi qui est détenteur d’une licence en Sciences de l’Information et de la Communication, option Communication des Organisations, a participé à plusieurs formations et ateliers entre autres sur le montage audiovisuel, sur le journaliste pour les droits humains, JDH en sigle avec une ONG canadienne, sur la réalisation et production audiovisuelle ou encore en prise de vue et autres domaines jugés nécessaires selon les besoins et opportunités.
Signalons, en passant, qu’il lui a été décerné le diplôme d’honneur et de mérite du meilleur journaliste reporter congolais pour l’année 2006 (palme en argent), le dixième prix congolais pour l’indépendance et le patriotisme (palme de Bronze), et le cinquième diplôme d’honneur et d’excellence de République Démocratique du Congo pour l’année 2006 (palm en or). Lesquels prix ont été décernés par la Ligue Congolaise pour la Paix, le Développement, les Droits de l’Homme et les Elections (LICOPADHEL/ONGDH-ASBL) en collaboration avec le conseil Africain pour la paix et la promotion des droits de l’homme, la fondation Internationale pour la démocratie et les Elections et le parlement francophone de la jeunesse pour la région de l’Afrique centrale.
Pendant ce temps même, il œuvrait déjà dans la presse écrite. En 2007, avec le journal « Libre Afrique », en 2008, avec le bihebdomadaire « l’Envol », prioritairement avec sa rubrique attachée sans pour autant se passer des autres puisqu’il y était journaliste à part entière et aussi assumait l’intérim du rédacteur en chef au cas où ce dernier était en déplacement ou d’un quelconque empêchement.
En 2009, après avoir quitté CEBS, en collaboration avec ses amis et anciens collègues, il se décide enfin de s’investir totalement dans « le Zénith », leur journal créé pendant qu’il évoluait à CEBS. Lequel tabloïd était déjà dans sa période d’essai en attente de l’expiration du contrat avec cette chaîne éducative.
Il a, fidèlement, débuté avec sa rubrique culture pour ensuite finir comme Directeur de publication, poste qu’il s’est vu contraint d’abandonner suite à une nécessité de voyage pour une formation et ensuite autres occupations naissantes qui ne lui permettaient plus de travailler pour le compte du journal le Zénith.
A son retour à Kinshasa, il intègre le journal « Le Pari » où il a commencé comme Chef de rubrique culture ensuite Directeur de Publication a.i. pendant une année et 6 mois pour ensuite se voir confier le poste de Rédacteur en Chef.
Et après, c’était pratiquement la ronde des télés et radios de Kinshasa tant confessionnelles que commerciales et les agences de communication. Déjà en juin 2008, sur l’initiative de l’ong IDAY et CASTR, il réalisa le documentaire de la campagne « un enfant, ce n’est pas sorcier ». Lequel documentaire diffusé lors d’un concours déroulé en Belgique, en novembre 2008.
Avec la réforme de CEBS, il y a eu fusion des rubriques et ainsi il devient l’un des chefs de la rubrique culture, art et sport de 2008 à 2009. Il a même été élu meilleur chef de rubrique au cours de cet exercice après évaluation minutieuse du comité dirigeant de cette tendre époque.
De 2007 à 2009, il est intervenu comme journaliste-cameraman accrédité au Centre Wallonie Bruxelles International, à la Halle de la Gombe et à d’autres établissements culturels de Kinshasa.
Il fut cofondateur et organisateur du Festival interscolaire pluridisciplinaire dénommé « Rencontre de Jeunes Talents en Milieu Scolaire », R.J.T.S. Une activité annuelle réalisée en collaboration avec le Lycée Prince de Liège autrement nommé école Belge. Ce festival a connu son édition zéro en 2007 et cinq (5) éditions effectives de 2008 à 2012 pour subir ensuite un break en 2013 à l’occasion de son édition rétrospective avec les responsables d’écoles intervenantes et la représentation de l’Unesco.
En juillet 2009, il a été désigné chargé de communication du Centre de Programme de Production de Support de Sensibilisation pour les Sourds (C.P.P.S.), où il a, à l’époque, publié au journal le Zénith,un article titré « Les sourds et les entendants sur une même scène » et en surtitre « Mythe ou réalité ? ». Lequel article a été repris en intégralité de sa page culture dans le site du festival d’Avignon en 2009 où le support audiovisuel de ladite pièce de théâtre a été projeté.
En Septembre 2009, il rejoint la chaîne de télévision« couleurs télévision », où il œuvrait dans pratiquement toutes les rubriques. En octobre 2009, il devient collaborateur attitré de l’administration publique congolaise. En novembre 2009, il s’est révélé cofondateur et chargé des informations du Journal Télévisé Chrétien diffusé sur Rtae, Rtack et canal futur. C’est lui qui a eu l’audace de lancer, sur les antennes des télévisions du Congo, le tout premier numéro de ce tout premier journal consacré exclusivement aux informations des églises.
En janvier 2010, il lance b+Studio, une agence de communication, management et publicité qui réalisait l’émission Bible sur table et visite guidée, deux émissions diffusées sur les antennes de Cebs tv et radio, Horizon 33-TFK et Central Fm.
En Avril 2010, il presta comme secrétaire de rédaction à l’hebdomadaire « Lawulenu » qui deviendra par la suite« Le Plateau de Lunda News », en 2011. De mars à juin 2011, il a encadré l’atelier de théâtre au Lycée Prince de Liège/école Belge, une formation qui s’est clôturée par une série des représentations au sein de ce Lycée Belge.
En Août 2010, il répond à la demande lui faite en devenant Secrétaire de rédaction et chargé des reportages à l’agence de production et de publicité « Congo Débout ». En Septembre 2010, avec la relance du journal Télévisé Chrétien, il exerce en tant que Rédacteur en Chef de la nouvelle version du JTC diffusé sur Hope tv, Canal futur, Rtack, Rtdv, Rtvh, Rtva, Rtae.
En Juillet 2011, avec la création de « Espace Nomade » (Organisation Congolo-suisse pour la production et diffusion des Spectacles à des endroits variés de la RDC), il exerce comme conseiller en communication et technique de la structure ; et acteur par occasion.
En novembre 2011, Directeur Artistique, chargé de communication et technique de la tournée de sensibilisation sur la protection de la nature à Kinshasa et dans la province du Kongo central. Une activité d’éveil de conscience qui, selon le contrat signé avec la Coopération Technique Belge, devait se dérouler sur toute l’étendue de la RDC.
En Mars 2012, il sera désigné chargé des informations à « S-media Consulting», une agence conseil en communication et production et aussi coordonnateur adjoint du département de communication de la Mutuelle des compagnons de la longue marche, MUCOM. En juillet 2012, il a été ensuite désigné administrateur général et chargé de communication de la 2eme édition de passeport vacances, une activité récréative avec les enfants de tous les horizons à l’école Belge de Kinshasa/Lycée Prince de Liège pendant les vacances. En Août 2012, il signe un contrat avec la fondation Maboti, pour la section musique de l’Académie des Sports, Arts et Métiers, ACSAM où il avait en charge le cours de théorie musicale, de Solfège et de Guitare à l’ACSAM/ESMICOM.
Evoluant dans le milieu estudiantin de 2010 à 2013, il a eu à œuvrer comme encadreur de TFC, mémoires et autres travaux en collaborant avec les comités d’étudiants de différentes universités de la place.
En 2014, tout en étant avec le tabloïd « Le Pari », il prestait en tant que Rédacteur-concepteur à l’agence « Xtrastudio » qui s’occupait partiellement de la communication du chanteur congolais « Fally Ipupa » y compris ses activités para-musicales. Il était également rédacteur et coréalisateur de « Fally Ipupa Magazine », FIMAG en sigle, un bihebdomadaire télédiffusé.
En tant qu’artiste, Blaise Puala, de pseudo Ciel Bleu, a beau fait ses preuves en tant que tel. Il a participé à plusieurs projets de grande envergure tant à Kinshasa qu’ailleurs en étant tantôt initiateur ou carrément membre actif et dévoué dans des activités comme Basaly’aBazoba ou autres projets de sensibilisation, festival de contes, festival KVS ou autres, spectacles de rue, etc. Visiblement, il est très attaché à la thématique enfant et éducation en mêlant ainsi son côté philanthropique et affectif.
A ce jour, il est visionnaire et concepteur de CIEL BLEU, une œuvre socioculturelle et éducative, laquelle, en vertu de sa reconnaissance licite, s’impose en tant que structure d’appui au développement intégral. Cette unité culturelle à part entière a, légalement, vu le jour en novembre 2014 après une longue période de gestation soit de 2007 à 2009.
CIEL BLEU se veut, désormais, fonctionner comme System de Stockage et de partage de contenus au-delà de son aspect d’antan lui reconnue dans l’organisation des activités culturelles saines, instructives et variées qu’elle s’active, infatigablement et tendrement, d’offrir.
La grande vision de CIEL BLEU, cet entrebâillement culturel d’appui au développement intégral, est de constituer un espace de rencontres, d’échanges et de mise en œuvre d’actions à destination des personnes et des organisations issues de différents secteurs d’activités opérationnelles sur la totalité ou sur une partie de l’Afrique voire l’Occident avec cette même dynamique de développement des échanges intra et extra-culturels, soutenue tout au départ, avec le souci majeur de contribuer au développement du bien-être et de la qualité de vie des populations, dans une logique partenariale et participative. D’où, la nécessité, selon son visionnaire, de cet épanouissement et mutation conditionnelle en plateforme culturelle.
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