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Sénat: candidat questeur, Moïse Ekumbo fait de la transparence et l’intégrité son cheval de bataille

Jeune, discret, dynamique mais surtout épris des valeurs démocratiques, Moïse Ekumbo, benjamin de la Chambre haute du Parlement, vise un fauteuil au Bureau définitif de la Chambre haute du parlement. Cet élu de la Tshuapa estampillé Union sacrée a déposé, dans la soirée du lundi 5 août 2024, sa candidature au poste de questeur.

Fort de son passage à ce même poste au bureau provisoire, Moïse Ekumbo fonde le sens de ses ambitions dans sa volonté d’accompagner les réformes initiées par le Président de la République. L’élu de la Tshuapa s’aligne surtout sur un modèle de gouvernance plus inclusif et participatif. Ce qui, pour lui, implique les valeurs de transparence, de serviabilité de vitalité, de dynamisme mais aussi d’intégrité au Sénat.

Dans un contexte politique où le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo met un point d’honneur à renforcer la représentativité des jeunes dans les institutions de l’État, Moïse Ekumbo ne s’emballe pas dans le jeunisme. Du haut de sa trentaine, ce sénateur entend jouer un rôle central dans l’optimisation du fonctionnement du Sénat. Ses instrument: la transparence et la responsabilité, «atouts qui l’accompagnent dans son engagement politique», selon ses collaborateurs.

Dans la peau de questeur, Moïse Ekumbo envisage conjuguer rigueur et efficacité dans une gestion des ressources financières du Sénat. Ce, en mettant en place des mécanismes de contrôle renforcés pour ainsi garantir une utilisation optimale et transparente des fonds publics. Voilà qui devrait contribuer significativement à l’amélioration des performances institutionnelles.

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