Ce n’est pas une blague. Depuis qu’il a fait des révélations sur le contrat chinois et poussé à la décision présidentielle de son réexamen, Jules Alingete, l’Inspecteur général chef de service de l’IGF, est devenu l’homme à abattre.
Des sources concordantes rapportent que plusieurs communications sont prévues par les ONG infiltrées ainsi que certains communicateurs pour opposer Félix Tshisekedi à son super flic financier.
Au Palais, des langues indiquent cependant que la confiance dont jouit l’IGF auprès du Chef de l’Etat fait trop peur à la classe politique, particulièrement aux prédateurs.