Bertin Mudimu Tshisekedi, Directeur général du Fonds de promotion de l’industrie -FPI-, s’active avec célérité pour viabiliser le site dédié à ses agents et cadres. En effet, samedi 22 juillet 2023, accompagné des membres de la commission d’attribution des terrains, le Directeur général de cet établissement public est descendu sur ce site de Manoah à Kinshasa, précisément dans la commune de la N’Sele, pour s’enquérir de l’évolution du projet qui prévoit la construction d’environ 400 maisons pour le personnel du FPI ayant souscrit à la dotation de l’entreprise.
Sur place, le DG du FPI Bertin Mudimu a pu voir une dizaine de maisons qui sont déjà construites par l’entreprise Luxos RDC, qui a signé des contrats avec certains agents souscripteurs. C’est une sortie d’entreprise aux allures d’un team building. Par cette visite, Bertin Mudimu qui ne cesse de matérialiser sa vision managériale d’investir dans le capital humain, prouve clairement sa détermination d’amplifier les actions de proximité avec les agents et cadres du FPI. C’est ainsi qu’en application du principe de la continuité dans la gestion des affaires de l’État, il a tenu à palper du doigt l’évolution du site Manoah que son entreprise a doté aux agents et cadres.
A Manoah, il est prévu la construction de près de 400 maisons ainsi que l’aménagement de la cité. «Pour mettre le personnel dans des conditions idéales, il faut le payer, améliorer le cadre professionnel et le cadre où il va rester après son travail. Ici, nous donnons la possibilité aux agents d’avoir chacun un logis qu’il peut léguer à sa progéniture», a déclaré Bertin Mudimu Tshisekedi. Bien qu’aujourd’hui, la question de la viabilisation de cette concession reste en délibéré entre l’employeur et le banc syndical, le DG du FPI a apprécié le travail abattu jusque-là par l’entreprise Luxos RDC.
Le grand manager du FPI s’est dit aussi favorable de faciliter les travaux de viabilisation qui devront consister à l’aménagement des avenues dans le site, la construction des caniveaux d’évacuation d’eau usée et des espaces publics. «Je suis tout à fait d’accord pour viabiliser le cadre. Ça ne sert à rien de construire une maison et que demain ou après-demain que l’on puisse apprendre que l’érosion a emporté les maisons. Il faut garantir à ces maisons de subsister le plus longtemps possible. C’est pourquoi je suis d’accord pour la viabilisation du site et nous allons tout mettre en œuvre pour que cette viabilisation soit opérée», a affirmé le DG du FPI.
Pour sa part, Charles Banze, chef du personnel et membre de la commission d’attribution des terrains, a relevé quelques inquiétudes exprimées par bon nombre d’agents souscripteurs qui ont fait ce déplacement avec le patron du FPI. Parmi ces inquiétudes, il a relevé le redimensionnement des terrains de 3 ares à 4 ares tel que mentionné dans le contrat de location de terre signé par les agents souscripteurs.
«C’est vrai qu’il y a eu redimensionnement simplement parce que le premier qui a été fait n’a pas tenu compte de laisser des grandes avenues pour faciliter une bonne circulation dans la concession. Avant, les avenues étaient de 5 mètres mais avec ce redimensionnement, elles sont passées de 5 à 7 mètres», a précisé Charles Banze. En attribuant ces terrains aux agents, le FPI tient à mettre son personnel dans des conditions optimales de travail et, par ricochet, préparer également leurs retraites. C’est la vision éclairée de Bertin Budimu Tshisekedi.
DK