Dans un développement choquant, de nouvelles informations ont émergé concernant un complot visant à arrêter et à discréditer le candidat aux élections présidentielles de 2023 en République démocratique du Congo, Moïse Katumbi. Il est allégué que la Demiap (Direction des enquêtes militaires et anti-patrie) serait complice de cette manœuvre en collaboration avec le milicien Thierry Mukelekele, dans le but de discréditer l’opposant Moise Katumbi et de l’éliminer de la course électorale en le jetant en prison.
Selon les révélations d’un témoin ayant participé à ce complot : “Thierry Mukelekele a été approché par la Demiap pour faire une déclaration accusant Moïse Katumbi d’être le chef des Bakata Katanga, un groupe rebelle actif dans la région du Grand Katanga. En échange de cette fausse déclaration, Mukelekele est supposé bénéficier de sa libération complète et évitera ainsi de retourner à la prison de Ndolo, où il a passé trois ans sans procès, et ce, dans des conditions inhumaines”.
Cependant, un activiste des droits de l’homme proche du militant des droits de l’homme Jean-Claude Katende, a qualifié cette accusation de “pure fabrication”. Selon lui, “la Demiap s’est spécialisée dans la mise en scène de coups d’État, de rébellions et de possessions d’armes pour éliminer tous les opposants à la course présidentielle, dans le but de permettre à Félix Tshisekedi de tricher lors des élections de 2023”.
Il est important de noter que les Bakata Katanga de Gédéon Kyungu et Thierry Mukelekele étaient une milice alliée aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), dirigées par le général John Numbi et le pasteur Ngoie Mulunda. Cette milice existait en RDC à l’époque du président Mzee Kabila, alors que Moïse Katumbi était encore en exil. Les Bakata Katanga étaient principalement composés de membres de l’ethnie Baluba du Katanga. L’activiste ci-dessus assure que “la Demiap devrait chercher le chef de cette milice ailleurs que chez le président d’Ensemble, Moïse Katumbi, un homme pacifique qui a toujours refusé de verser le sang des Congolais”.
“L’accusation portée contre Moïse Katumbi est une folie délibérée, visant à harceler un leader visionnaire et altruiste”, explique l’activiste proche de Jean-Claude Katende qui a également annoncé son intention de déposer une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) contre la Demiap et leur commandant suprême, le président Félix Tshisekedi, pour crimes contre l’humanité dans le Haut Katanga et partout en RDC, pour association avec plusieurs milices et groupe rebelles, dans le but d’annuler les élections et glisser pendant 2 ans au pouvoir comme président par peur de perdre son fauteuil au profit de Moïse Katumbi, qu’il considère comme étant le seul candidat capable de le battre haut la main.
Les preuves sont nombreuses et accablantes…. Il suffit de regarder les vidéos attestant des massacres perpétrés contre des centaines de Katangais, hommes, femmes et enfants, dans les rues de la région par la Demiap et la garde Républicaine, sans oublier nos frères et soeurs de l’Est dont les crimes ne sont plus à citer tellement qu’ils ont dépassé l’entendement humain. La CPI devrait tenir pour responsables ceux qui ont commis ces massacres et violé les droits de l’homme. “Félix Tshisekedi n’est pas éternel. Il passera. Il y a eu des plus forts que lui en RDC. Avant lui, la RDC existait et elle existera après lui. À vouloir combattre la vérité, il finira par aller dans la poubelle de l’histoire congolaise!”, termine-t-il.
Avec «Congo intelligence»