Culture

Trois films programmés en décembre prochain à la Halle de la Gombe

L’Institut français de Kinshasa, Halle de la Gombe, va servi de cadre aux projections des films suédois prévues du 6 au 8 décembre prochain. Au total, trois films de différents genres seront présentés aux amoureux du 7ème art. Ce, grâce à l’ambassade de Suède en RD-Congo.   
   
Le Festival du film suédois s’ouvrira mardi 6 décembre prochain à la Halle de la Gombe par un long métrage de 124 minutes intitulé «L’ultime jugement», en présence de l’ambassadeur de Suède. Réalisé par Jan Troell en 2012, ce film-drame relate l’histoire dramatique d’un homme qui ne pouvait pas garder silence: «Torgny Segersted était l’un des principaux journalistes en Suède au XXème Siècle. Il a mené une bataille contre le régime nazi jusqu’à sa mort en 1945. Durant cette période, sa vie privée a été marquée par un chaos. L’ultime jugement est à la fois une histoire d’amour psychologique et un portrait de la situation politique de l’époque». Dans la soirée suivante, le 7 décembre, à 18 heures 30 minutes, les cinéphiles se réjouiront d’un autre film-drame de 96 minutes, «Nice people» réalisé par Karin Af Klinberg et Anders Helgeson en 2015. Cette œuvre dramatique suédoise met en œuvre une histoire d’un groupe de jeunes hommes somaliens, refugiés de guerre: «arrivés dans une petite ville rurale de Suède où l’intégration est difficile, ces jeunes pensent qu’il faut faire quelque chose. L’entrepreneur local Patrick Andersson a une idée: pourquoi ne pas utiliser le sport comme un pont pour rapprocher les gens? L’objectif est de créer la première équipe nationale somalienne de bandy et de la qualifier pour la Coupe du monde en Sibérie».
En plus, il sera projeté lors de la dernière soirée, le film «We are the best!», réalisé par Lukas Moodysson en 2013. Un long métrage de 102 minutes film-drame qui raconte l’histoire du Stockholm en 1982: «Bobo, Klara et Hedvig sont trois filles de 13 ans qui errent dans les rues. Elles sont courageuses, dures, fortes mais aussi faibles, confuses et bizarres. Ces filles doivent prendre soin d’elles-mêmes beaucoup trop tôt. Elles décident de former un groupe de punk sans même savoir jouer d’un instrument, quand tout le monde dit que le punk est mort».
René KANZUKU

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