Il y aura du feu. Kaspy Ndia, musicien RD-congolais évoluant à Kinshasa, se produira le 03 octobre 2015, au centre Tedika dans la commune de N’djili. Dans un entretien accordé à AfricaNews depuis Londres où il séjourne présentement, l’artiste précise que «Métamorphose» est un répertoire de 15 morceaux déjà connu par ses fans de Kinshasa, habitués de ses différentes prestations.
Il renseigne également que ce spectacle retrace l’évolution de la vie humaine, animale, végétale et aquatique. «L’humain naît bébé et quelques jours, mois et années, plus tard, il devient adulte, enfin vieux. De la même manière que le corps humain se développe, l’intelligence grandie aussi. L’œuf qui devient oiseau ne peut plus se considérer l’œuf. Bref, c’est un conseil. Quand on grandi, nous devons grandir en tous et pour tous», explique-t-il.
En ce début de mois d’octobre, les Kinois de la Tshangu et tous les N’djilois principalement vont bouger au rythme de la musique traditionnelle, en passant par musique classique occidentale, reggae, pop, rumba du Cuba en RD-Congo. Après ses deux concerts livrés avec succès les lundi 28 et mardi 29 septembre à l’espace Sadler’s Wells au King’s cross à Londres, le musicien RD-congolais Kaspy Ndia regagnera Kinshasa où il prestera ce samedi 03 octobre sur la scène du centre Tedika à N’djili. Hormis ses 15 titres les mieux connus par ses mélomanes qui ont l’habitude de le suivre partout, Ndia leur réserve un cadeau de deux chansons surprises. Autres curieux peuvent aussi en bénéficier.
Il s’agit de Masque de fer et Amba lula. «Dans ces deux nouvelles chansons que vont savourer mes fans de Kinshasa, il y a un travail de métissage très remarquable. Alors que Amba lula contient une combinaison de la musique de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, un message sonore de l’unité africaine, avec une thématique de l’auto- prise en charge, chantée en Kisuku, dans «Masque de fer» il y a du reggae, classique et folk africain qui est très visible dans le refrain», a-t-il précisé tout en poursuivant, «ça va exploser. Il y aura premièrement deux nouveaux morceaux que je n’ai jamais joués sur scène. L’orchestration sera un tout petit peu modifié. Ma plus grande joie est que je vais encore prester devant mon public de Tshangu après près de 4 ans, donc avant que je me fasse découvrir en Asie, Amérique, Europe et autres pays africains. Je pense que c’est un concert nostalgique». Par ailleurs, le polyvalent, Kaspy Ndia fait savoir qu’il y a déjà un album sur le marché de disque intitulé «Genesis».
C’est une compilation de 5 artistes de l’Inde, Pologne, Japon, Etats-Unis et la RD-Congo. Un projet de Eastman Sidi, Larbi Cherkaoui conçu au conservatoire d’Anvers en Belgique.
René KANZUKU
Il renseigne également que ce spectacle retrace l’évolution de la vie humaine, animale, végétale et aquatique. «L’humain naît bébé et quelques jours, mois et années, plus tard, il devient adulte, enfin vieux. De la même manière que le corps humain se développe, l’intelligence grandie aussi. L’œuf qui devient oiseau ne peut plus se considérer l’œuf. Bref, c’est un conseil. Quand on grandi, nous devons grandir en tous et pour tous», explique-t-il.
En ce début de mois d’octobre, les Kinois de la Tshangu et tous les N’djilois principalement vont bouger au rythme de la musique traditionnelle, en passant par musique classique occidentale, reggae, pop, rumba du Cuba en RD-Congo. Après ses deux concerts livrés avec succès les lundi 28 et mardi 29 septembre à l’espace Sadler’s Wells au King’s cross à Londres, le musicien RD-congolais Kaspy Ndia regagnera Kinshasa où il prestera ce samedi 03 octobre sur la scène du centre Tedika à N’djili. Hormis ses 15 titres les mieux connus par ses mélomanes qui ont l’habitude de le suivre partout, Ndia leur réserve un cadeau de deux chansons surprises. Autres curieux peuvent aussi en bénéficier.
Il s’agit de Masque de fer et Amba lula. «Dans ces deux nouvelles chansons que vont savourer mes fans de Kinshasa, il y a un travail de métissage très remarquable. Alors que Amba lula contient une combinaison de la musique de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, un message sonore de l’unité africaine, avec une thématique de l’auto- prise en charge, chantée en Kisuku, dans «Masque de fer» il y a du reggae, classique et folk africain qui est très visible dans le refrain», a-t-il précisé tout en poursuivant, «ça va exploser. Il y aura premièrement deux nouveaux morceaux que je n’ai jamais joués sur scène. L’orchestration sera un tout petit peu modifié. Ma plus grande joie est que je vais encore prester devant mon public de Tshangu après près de 4 ans, donc avant que je me fasse découvrir en Asie, Amérique, Europe et autres pays africains. Je pense que c’est un concert nostalgique». Par ailleurs, le polyvalent, Kaspy Ndia fait savoir qu’il y a déjà un album sur le marché de disque intitulé «Genesis».
C’est une compilation de 5 artistes de l’Inde, Pologne, Japon, Etats-Unis et la RD-Congo. Un projet de Eastman Sidi, Larbi Cherkaoui conçu au conservatoire d’Anvers en Belgique.
René KANZUKU