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RSIT : Des flèches empoisonnées sans effet sur José Mpanda

Un brûlot, sorti du laboratoire du Commissariat général à l’énergie atomique -CGEA-, remis à certains médias dits de «Matonge» et publié en des termes identiques, attribue au ministre José Mpanda «une pluie de scandales» au ministère de la Recherche scientifique qui l’érigerait en ennemi de l’Etat de droit. «Ennemi de l’Etat de droit», c’est le générique utilisé très souvent à tort par des accusateurs en mal de positionnement surtout animés de mauvaise foi.

Alors qu’il est apprécié pour avoir donné la vivacité et la vitalité à son ministère jadis considéré comme dérisoire mais actuellement envié par beaucoup, les détracteurs de José Mpanda se chagrinent et le jalousent à cause de sa reconduction dans la gouvernement Sama Lukonde. D’où la création d’une entreprise de diabolisation.

En effet, cette diabolisation est l’œuvre d’un «Dieu le père, le fils et le saint esprit» qui trône à la tête du CGEA depuis plusieurs années et s’y est maintenu par corruption et loge combinées malgré le très large dépassement de son mandat. Le seul péché de José Mpanda c’est d’avoir, dès sa prise des fonctions de ministre au gouvernement Ilunkamba, refusé de se faire dompter par l’argent de corruption lui apporté par «Dieu le père, le fils et le saint esprit» comme dans ses pratiques avec les ministres antérieurs.

Usant de ses relations beaucoup plus tribales, «Dieu le père, le fils et le saint esprit» qui avait toujours les ministres de tutelle dans sa poche, a fait tout pour faire sauter José Mpanda, ministre inconditionnel et intraitable face à la corruption, sans succès. Sa reconduction au gouvernement Sama Lukonde est venue ainsi amplifier le désespoir. Le démantèlement du réacteur Trico II, accusation sans fondement qu’on porte sur lui, fait du coup rire même les oiseaux surtout qu’elle émane des «intellectuels».

Par quelle magie, un ministre soumis aux ordres du Président de la République et du Premier ministre peut-il s’hasarder à prendre une si grave décision qui touche, non seulement à la sécurité, mais aussi à la souveraineté? Sans ainsi bien raisonner, les détracteurs de José Mpanda ont pensé trouver un argument d’accusation de taille. Malheureusement! Le point de vue émis par l’Ambassadeur des Etats-Unis Mike Hammer sur ce réacteur Trico II, à l’issue de l’audience lui accordée par José Mpanda le 14 juillet dernier, comme d’ailleurs il l’a fait avec d’autres ambassadeurs -Belgique, Japon, Corée du sud…- pour solliciter auprès de leurs gouvernements respectifs un accompagnement scientifique de la RD-Congo, n’est ni le marchandage, ni le bradage du réacteur Trico II. Le ministre José Mpanda n’a aucun pouvoir de le faire. Par contre, c’est lui qui a défendu le démarrage de cet engin au conseil de ministres et a obtenu gain de cause. Le gouvernement s’active à débourser les fonds pour ce faire.

Despote, clientéliste ou encore anarchiste, comme le qualifie-t-on, José Mpanda n’est ni l’un, ni l’autre. Sinon, son suppléant à l’Assemblée nationale serait sa femme, son frère ou quelqu’un d’autre de sa famille. Ce qui n’est pas le cas avec lui. En bon juriste, il est respectueux des textes légaux. Au CNPRI, il est très applaudi par les agents pour son implication qui a rappelé à l’ordre le CGEA quant au paiement de leurs quotités que «Dieu le père, le fils et le saint esprit» refusait de libérer. Voilà qui lui a encore créé des ennuis au CGEA où «Dieu le père, le fils et le saint esprit» grince les dents.

Le secrétaire général à la Recherche scientifique est la personne la plus heureuse, qui voit son ministre tous les jours et traite tous les dossiers avec lui dans une harmonie parfaite. Prétendre que José Mpanda lui aurait demandé de démissionner pour placer son homme est un canular.  Chrétien et homme juste, José Mpanda fait tout dans la droiture. Qualité qui donne des insomnies aux prédateurs et autres vautours de son secteur. Quoi qu’il en soit, le chien aboie, la caravane passe.

Avec ScoopRDC

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