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Processus électoral : La CENI inventorie son matériel

«Nous avons été mandaté par le président Denis Kadima, pour venir faire la supervision de l’opération des inventaires, de contrôle de matériels, contrôle qualitatif et quantitatif, cela en prévision de nos acquisitions de la quincaillerie électorale. Nous sommes là pour nous rendre compte des machines qui fonctionnent et celles qui ne fonctionnent pas», a déclaré Sylvie Birembano

Le questeur adjoint de la Commission électorale nationale indépendante -CENI-, Sylvie Birembano, a procédé, le mercredi 06 juillet, au lancement de l’opération des inventaires du matériel électoral et de leur fonctionnalité à son entrepôt central, situé près de l’Aéroport international de N’Djili. C’était en présence du secrétaire exécutif national adjoint, Marie-José Kapinga, et de quelques directeurs.

Au nom du président Denis Kadima empêché, le questeur adjoint de la Centrale électorale a précisé, dans son allocution, que cette opération était un travail ardu qui appelle au professionnalisme du personnel commis à cette tâche. Selon elle, l’observation de l’éthique et de la déontologie professionnelle sont de rigueur pour aboutir au résultat escompté.

«Nous avons été mandaté par le président Denis Kadima pour venir faire la supervision de l’opération des inventaires, de contrôle de matériels, contrôle qualitatif et quantitatif, cela en prévision de nos acquisitions de la quincaillerie électorale. Nous sommes là pour nous rendre compte des machines qui fonctionnent et celles qui ne fonctionnent pas», a déclaré Sylvie Birembano.

Puis: «Nous sommes très fières du travail qui a été fait et nous avons compris que les personnes qui sont affectées à ce travail connaissent les composantes des kits. Parce qu’on ne peut pas contrôler quelque chose qu’on ne maîtrise pas. Ils ont maitrisé la fonctionnalité de ces kits et ils peuvent nous dire quel matériel est fonctionnel et celui qui ne l’est pas».

A l’en croire, ce travail d’inventaire se réalise déjà en province. «Kinshasa, c’est le hub des hubs où nous avons un grand travail, une grande quantité de matériels. Voilà pourquoi toutes ces équipes sont aujourd’hui ici pour nous accompagner dans ce contrôle de matériels et de leur fonctionnalité», a-t-elle souligné. Cette activité a connu une séance de simulation marquée par deux étapes, à savoir: la vérification physique des composantes des matériels et la fonctionnalité proprement dite desdits matériels.

Octave MUKENDI

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