La vérité est têtue, mais elle reste la vérité. En dépit de l’instrumentalisation dont certains syndicalistes de la part des personnes mal intentionnées, au Ministère de la Fonction publique, tous les agents sont payés. Ils touchent leurs salaires de base accompagnés de la prime sectorielle récemment réajustée et de la fameuse prime d’encadrement de la paie pendant que dans d’autres administrations, il y a des agents qui ont zéro salaire de base et zéro prime. Réclamer le paiement des primes auprès du Ministre de la Fonction publique, c’est se tromper des portes car le paiement du troisième palier a déjà été engagé par le VPM Jean-Pierre Lihau. Si une réclamation d’une prime doit être faite, c’est auprès des Ministres du Budget et des Finances. Pas le contraire. La vérité c’est que dans la pratique le Ministre de la Fonction publique ne s’occupe que de la mécanisation au salaire de base. L’alignement aux primes relève des ministres du Budget et des Finances.
A la Fonction publique, en deux ans, le VPM Jean-Pierre Lihau a réussi à mécaniser 4.500 agents nouvelles unités, un record jamais réalisé depuis des lustres. Plusieurs agents ont bénéficié de la promotion en grade bloquée depuis 40 ans. Voulant l’équité, le VPM Jean-Pierre Lihau a retenu comme priorité de son deuxième mandat, la mise en place d’une nouvelle politique salariale pour mettre fin aux disparités tant décriées au sein de l’administration publique.
Les allégations mensongères faites par quelques syndicalistes véreux contre JP Lihau, dénotent simplement de la manipulation politique au regard du travail qu’abat ce vice-premier ministre pour réformer l’appareil l’administratif congolais avec la maîtrise des effectifs et de la masse salariale, l’identification biométrique des agents à travers le pays, la mécanisation de plus de 150.000 agents publics de l’Etat, la mise à la retraite de plus de 11.000 agents, la révisitation des cadres organiques de 59 administration, etc. Décourager et jetter en pâture un tel membre du Gouvernement qui a donné toute son énergie et toute sa volonté à remettre à la Fonction publique ses lettres de noblesse, relève simplement de la mauvaise foi, mieux encore de la sorcellerie africaine.