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Affaire 200 millions de la GCM: la pièce clé qui dédouane Yuma et Kamenga

La guerre du contrôle des minerais de la RDC relancée. Les nouvelles de la création de l’Entreprise générale du cobalt -EGC- à l’origine de la campagne destinée à dézinguer le PCA et le DG ai de la Gécamines mais un crime n’est jamais parfait, nous signalent les plus informés d’entre nous…

La Gécamines n’a jamais payé les 200 millions de dollars pour lesquels ses dirigeants sont incriminés, refusant de satisfaire une société sanctionnée par les États-Unis, a appris AfricaNews le week-end. Les sources du trihebdo du Quartier Beau Vent sont formelles: “L’opération est transparente. Il existe un Code swift démontrant noir sur blanc qu’il y avait eu transfert des fonds, notamment une somme de 128 millions d’euros, en faveur de la Gécamines, bien avant que les sanctions américaines s’abattent sur les entreprises de Dan Gertler”. Puis: “malgré le verdict du Tribunal de commerce de Lubumbashi, la Gécamines n’as pas payé les 200 millions de dollars réclamés, refusant de satisfaire une société sanctionnée par les États-Unis”. Des compatriotes ont donc juré de délier leurs langues, demandant à la communauté nationale d’attendre les grandes révélations imminentes sur cette affaire vraisemblablement montée pour discréditer les personnalités citées dans ce dossier. Des informations confirmées par le Communiqué officiel de la GCM publié le week-end, signé de la main du DG ai Kamenga, affirmant en plus du Code Swift l’existence d’autres documents bancaires prouvant la traçabilité de la dette -Lire communiqué en intégralité.
Alors que ce Code Swift passe pour la pièce clé qui dédouane les mandataires publics aux commandes de la GCM, ceux qui ont décidé de prendre la défense du PCA Albert Yuma et du DG ai Jacques Kamenga estiment plutôt que “les impérialistes, jamais remis de leurs déboires après l’adoption du Code minier, ont levé l’option de brûler la maison République Démocratique du Congo et d’opposer le FCC et le CACH, mieux Félix Tshisekedi et Joseph Kabila”. Déclarations graves. Les impérialistes évoqués seraient-ils de mèche avec des compatriotes à la recherche du lucre? Les RD-Congolais sont aujourd’hui en droit de s’interroger sur la crédibilité des sources de l’ONG ACAJ. Qui a bien pu alimenter en informations non vérifiées l’ONG, laissant transparaître un engagement à manipuler l’opinion? Quel est le rôle donné à cette dernière dans la campagne de sape lancée contre Albert Yuma Mulimbi et Jacques Kamenga, pris pour cibles depuis qu’ils sont en train de relever le défi du redécollage de la Gécamines? On le sait, les réalisations du duo causent des insomnies dans certains milieux.

Dans une tribune publiée chez le confrère en ligne Zoom Éco, dédié aux dossiers économiques, un analyste des questions minières relève les incohérences de l’intervention du responsable de l’ONG ACAJ, Georges Kapiamba, au front depuis.
Selon l’analyse, Kapiamba a tout faux. L’avocat prétend que le Directeur général et le Secrétaire général de Gécamines ont été débarqués alors que ceux-ci n’ont jamais embarqués dans un quelconque avion. Ils se trouvaient au Salon VIP de la RVA avec des billets CAA et n’ont jamais tenté de s’envoler pour l’étranger.
L’analyste veut aussi comprendre pourquoi Me Kapiamba peut-il soutenir que le jugement du Tribunal de commerce condamnant Gécamines oblige cette dernière à payer des dommages et intérêts de 50 millions alors que c’en est pas le cas? Il demande, en outre, à l’opinion comment croire à un Monsieur qui affirme que la créance de 128 millions d’euros n’est jamais apparue dans les états financiers de la Gécamines pour l’exercice 2017-2018 alors que cette créance est bel et bien enregistrée dans les états financiers de l’exercice 2017, approuvés par l’Assemblée générale de Gécamines, avec le Rapport des commissaires aux comptes?
Autres questions pertinente de l’analyste: comment un avocat de la trempe de Kapiamba peut-il ignorer que les défenses à l’exécution ne peuvent être initiées que dans des conditions bien précises dont est exclue une créance reconnue et documenté?
Comment croire à un Monsieur qui prétend que la condamnation du Tribunal de commerce n’est intervenue que lorsque la Gécamines a conclu la vente de certains de ses espaces à KCC alors que cela est absolument faux et que cela peut être vérifié par le communiqué de Katanga Mining et le jugement du Tribunal de commerce?
La manipulation de l’opinion n’est-elle pas criante? La preuve n’est-elle pas établie que Monsieur Kapiamba serait manipulé par ceux que gêne la nouvelle société Entreprise Générale du Cobalt qui devra assurer le contrôle de l’Etat congolais sur ce produit stratégique?
Toutes ces questions posées, il y a lieu d’insister sur le fait que la présomption d’innocence est un des principes sacro-saints du droit. Comment accuser ces mandataires publics sans aucune preuve, sur base des soupçons sans fondement?

Personne ne peut prouver aujourd’hui qu’Albert Yuma et son comité sont impliqués dans un quelconque détournement. En revanche, il peut-être prouvé que Albert Yuma, sous le leadership de Joseph kabila, a rappelé la Gécamines à la vie.

La Banque mondiale avait demandé, en 2011, de liquider la Gécamines parce que non productive avec 4 ans de salaire impayés pour les employés.
Inspiré, Joseph kabila a dit non et confié la gestion de la Gécamines aux compatriotes compétents sous la direction d’Albet Yuma. Aujourd’hui avec l’équipe Yuma, la Gécamines a retrouvé ses lettres de noblesse les agents n’ont plus d’arriérés de salaires et sont payés à temps.

Beaucoup de concessions minières ont été récupérées pour le compte de la Gécamines auprès des partenaires étrangers.
Avec le nouveau Code minier et les exploits que réalise la Gécamines, les prophètes des malheurs sont devenus fous et cherchent par tous les moyens à discréditer Yuma et son staff.

Albert Yuma, pour éviter l’évasion des capitaux et l’exportation frauduleuse de nos mines, a proposé au gouvernement qui a accepté la création d’une société qui devrait encadrer l’exploitation artisanale enfin de permettre aux congolais artisanaux de bénéficier de nos mines au détriment des vautours étrangers.

Un autre observateur plaide pour que les RD-Congolais “arrêtent de jouer le jeu des miniers aventuriers qui n’ont jamais supporté l’équipe Yuma parce que constituée des nationalistes responsables et qui ont soutenu le Code minier pour permettre aux RD-Congolais de bénéficier de leurs ressources minières”.

Certains miniers et étrangèrs paraissent être contre le décollage de la Gécamines et l’appropriation de nos mines par nous même.

Pour un petit rappel en 2018 suite aux accusations similaires Yuma et ses troupes ont dissipé tout malentendu dans une conférence tenue à l’Hotel Pullman devant l’opinion nationale et internationale en démontrant la mauvaise foi et l’acharnement éhonté des accusateurs contre cette équipe qui gère très bien nos mines. Après cette conférence, personne n’avait soulevé son petit doigt pour contredire Yuma et son équipe.

Le problème soulevé aujourd’hui est un montage de mauvais goût qui n’ébranlera pas ce Comité qui se bat tant bien que mal à augmenter la production des mines de la République Démocratique du Congo pour permettre au Président Félix Antoine Tshisekedi et le Premier ministre Ilunga ainsi que tout le gouvernement à atteindre les assignations consignées dans le budget. On peut ne pas l’aimer l’équipe Yuma a fait renaître la Gécamines.

KISUNGU KAS


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