Alexey Sentebov, ambassadeur de la Russie en RD-Congo, a procédé, lundi 07 octobre dernier, à la remise officielle des bourses d’études aux 45 étudiants RD-congolais retenus pour la campagne des bourses 2019. C’est à cette occasion qu’il a rassuré le gouvernement de la RD-Congo de l’engagement de son ambassade à mobiliser les efforts possibles pour augmenter le quota de ses bourses pour la RD-Congo. S’exprimant à leur tour, les boursiers ont remercié le gouvernement RD-congolais pour des relations pacifiques et bénéfiques qu’il entretien avec le gouvernement russe.
Organisée par l’ambassade russe, la cérémonie s’est tenue au siège de sa représentation en RD-Congo, dans la commune de la Gombe. Dans son mot de circonstance, Alexey Sentebov s’est dit content de poser cet acte si merveilleux pour l’encadrement de la jeunesse. «Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accorder, au nom de mon gouvernement, les bourses aux 45 jeunes RD-congolais que nous avons retenus cette année. En le faisant, j’espère qu’ils vont apporter leur contribution au développement d’un Congo nouveau et au raffermissement de l’amitié russo-congolaise», a-t-il indiqué. Il a par ailleurs rappelé que, c’est chaque année, l’ambassade de la Russie tient la campagne des bourses d’études. Pour l’année 2019, a-t-il poursuivi, «sur plus de 700 candidatures reçues, 45 ont été retenu sur base de concurrence de leur diplôme d’Etats et aux résultats obtenus. C’est une nouvelle étape pour votre vie, pour vos parents, vos amies et pour vous-mêmes», a-t-il signifié. De leur coté, les nouveaux étudiants se sont exprimés, témoignant leur reconnaissance au gouvernement russe et RD-congolais, par le biais de l’un d’eux. «La jeunesse est l’espoir de demain. C’est le sens fort des bourses que nous recevons officiellement aujourd’hui. Ceci signifie que la Russie accorde une place de taille et une attention soutenue à l’encadrement de la jeunesse RD-congolaise que nous sommes. A nos parents, nous disons également merci. Vous nous avez donné la chance de débuter une autre vie concernant notre histoire», ont-ils conclu.Parousia MAKANZU