Politique

Le «Canard enchainé» évoque l’Affaire Moni Della

L’opposant Moise Moni Della croupit encore au CPRK en attendant la reprise de son procès désormais suspendu au verdict de la Cour constitutionnelle saisi en interprétation de la Loi sur l’ordonnance relative à l’infraction de flagrance, à la demande de ses avocats.
Entretemps, le président de CONADE se propose de se présenter «devant son juge mais dit espérer que la Justice s’occupe aussi des auteurs de la mort des militants du Rassemblement tombés sous les balles les 19 et 20 septembre 2016, et pas tués gratuitement».
Moni Della affirme être victime de sa proximité avec Moise Katumbi et Etienne Tshisekedi. Une thèse désormais épousée par les médias étrangers.
Exemple du «Canard enchainé», ce journal français qui lui a consacré ses colonnes et dans lesquelles il a eu ces affirmations: «La toute puissante Agence nationale du renseignement -ANR- interpelle et tabasse à tour de bras des partisans des deux principaux leaders RD-congolais, Moise Katumbi et Etienne Tshisekedi, l’opposant historique à Mobutu.
Mais ils s’en prennent aussi à des hommes politiques. Tels que Moise Moni Della, fondateur du parti CONADE, arrêté le 19 septembre, torturé et transféré le 28 à la sinistre prison de Makala -Kinshasa-, sans que sa famille en soit informée».
Natine K.

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