Jeune leader de la Tshopo, Soleil Mosindo a donné de la voix après la réconciliation entre Joseph Kabila et Moïse Katumbi, rendue effective dans le cadre du Forum de l’unité des Katangais, affirmant qu’elle a eu lieu selon la volonté de Dieu. Tout en jetant les fleurs à l’Archevêque métropolitain de Lubumbashi, Mgr Fulgence Muteba, et à toutes les autres confessions religieuses du Grand Katanga pour cet événement, Soleil Mosindo a appelé tous les autres fils du pays encore en conflit d’emboîter les pas au président de la République honoraire et au leader du parti Ensemble pour la République ainsi qu’à tous les autres illustres personnages concernés par cette réconciliation. Il l’a dit dans un message vidéo transmis à «AfricaNews». Lisez plutôt.
Jeune leader de la province de la Tshopo, ville de Kisangani, je ne pouvais pas faire passer inaperçue cette occasion, notamment la réconciliation de deux frères ennemis longtemps demeurés en conflit. Cet événement que nous venons de vivre a eu lieu selon la volonté de Dieu matérialisée par la présence de l’archevêque métropolitain de Lubumbashi qui était au cœur de la cérémonie. Sans oublier tous les autres religieux représentants les églises protestantes, kimbanguistes, etc.
Cette réconciliation, qui est une interpellation pour nous en tant que jeunes leaders, constitue en plus un motif de satisfaction pour la classe politique RD-congolaise dans son ensemble. Dans le même temps, elle envoie un signal fort à chaque coin de province afin de dire à chacun: «il y a un temps pour se quereller et un autre pour se réconcilier. Mais on ne se réconcilie pas sans Dieu. C’est ce qu’on a vu au Katanga et qui fait que je sois très content d’avoir vécu ces moments inoubliables.
À un moment donné, il y avait séparation au Katanga de sorte que les uns étaient pour Kabila et les autres pour Katumbi. Cette division les avait affaiblis. Dans cette division, tout le monde pouvait les utiliser de n’importe quelle manière. Aujourd’hui que les deux hommes se sont réconciliés, il nous appartient à nous qui sommes encore en conflit, de leur emboîter le pas, car, on ne peut pas réussir le Développement en étant divisés. Lorsqu’on vit dans l’unité, on peut construire ensemble. Voilà pourquoi je me réjouis, tout en étant très flatté de l’acte posé.