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Par le canal de Fofo Konzi, l’Association voix des jeunes a sensibilisé sur l’autonomisation de la jeunesse

Une ambiance peu ordinaire a régné au restaurant Chawarma city le samedi 15 juin dernier. A la base, la conférence sur l’autonomisation des jeunes animée par le député Fofo Konzi sur invitation de l’Association voix des jeunes -AVJ.  Dans ce restaurant, situé dans la commune de Kasa-Vubu, l’élu de Lubumbashi, après avoir pris part à la plénière marquant la clôture de la session parlementaire de mars, a partagé son expérience d’autonomisation des jeunes de la ville d’où il a été élu député national.

«C’était une satisfaction que les jeunes s’organisent et se réunissent pour partager l’expérience d’un aîné au sujet de leur autonomisation», a dit Fofo Konzi. Et de marteler: «L’autonomisation, ce n’est pas une affaire d’un bailleur des fonds. C’est l’affaire de tous et ça commence par le jeune lui-même. C’est lui qui a l’idée, la matière, l’intelligence pour pondre tel ou tel autre projet qu’il rend potable et qu’il va défendre auprès des bailleurs des fonds». Pour l’élu de Lubumbashi, son rôle, dans cette situation, est de «chercher pour les jeunes le financement de leurs projets pour qu’ils soient responsables de leur survie». 

Se considérant comme «le porte-étendard de la voix de la jeunesse pour son autonomisation», le député Fofo Konzi a interpellé les jeunes en signifiant: «Si vous devez attendre l’Etat, vous allez attendre longtemps. Dieu vous a doté d’intelligence, réunissez-vous pour mettre en place des associations à votre intérêt». Dans son speech, Fofo Konzi a évoqué la notion d’incubateur pour se conformer à la volonté du Président de la République Félix Tshisekedi de créer des milliardaires RD-congolais. 

Pour son compte, Jacque Mbayo, président de l’AVJ, a fait savoir que cette conférence a été organisée afin de permettre aux jeunes de prendre conscience de ses capacités naturelles à même de les rendre autonomes. «Nous avons développé ce thème parce qu’il y a des jeunes qui n’arrivent pas à prendre la vie au sérieux faute d’emploi. Nous nous sentons obligés de rendre les jeunes autonomes. Une fois que les jeunes vont intégrer cet aspect, on pourra alors parler du développement de la RD-Congo», a-t-il estimé.

LOI

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