Jean-Claude Mputu, porte-parole de CNPAV et numéro 2 de Ressources Maters, se sait dans des sales draps et se lance dans une étrange agitation depuis l’annonce des poursuites judiciaires à son encontre pour avoir diffamé Dan Gertler.
Jean-Claude Mputu a déclaré dans les médias que Dan Gertler a empoché 2 milliards de dollars depuis la signature du Protocole d’accord avec le gouvernement de la République Démocratique du Congo. Le même jour, à 9h30, le Groupe Ventora a entrepris de dénoncer cette nouvelle campagne de dénigrement visant Dan Gertler, faisant part d’une plainte contre Jean-Claude Mputu. Mais, quelques heures plus tard, le CNPAV via Jean-Claude Mputu a changé et version et chiffres, parlant cette fois-là de 60 millions de dollars empochés depuis la signature de l’accord.
«Un calcul qui fait constater le manque de sérieux et de professionnalisme de la part de l’ONG CNPAV», a fait noter samedi le service de communication de Dan Gertler, ajoutant: «Il est clair qu’on ne peut pas faire confiance à des gens qui pensent tout savoir et tout comprendre alors qu’ils ne racontent que des carabistouilles. Passer de 2 milliards à 60 millions de dollars en une demi-journée est la preuve suffisante que plus personne ne doit accorder du crédit à ce que racontent et avancent comme chiffres, depuis des années en nourrissant avec des fausses accusations et un acharnement sur Dan Gertler une certaine opinion nationale et surtout internationale, ces pseudos activistes de lutte anti corruption».
Le service de communication de Dan Gertler a également insisté sur le fait que cette fois-ci «Ventora ne laissera pas passer cette énième diffamation».
Depuis que la plainte contre Jean-Claude Mputu a été confirmée, on observe une forte panique dans les rangs de CNPAV qui, dans son deuxième communiqué, a changé des chiffres et veut orienter le débat ailleurs de par ce changement alors que personne n’est dupe.
«Les masques sont tombés. Enfin, CNPAV et Mputu ont été attrapés en flagrant délit de diffamation et doivent en répondre devant leur juge», a commenté un acteur de la Société civile favorable au professionnalisme et au respect de l’éthique.
Natine K