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RDC: Silence radio des ONG et Ambassades sur les arrestations dans le cadre des 100 jours mais tirs croisés sur Gertler, une ONG réagit pour le défendre!

L’Américain David Blattner et Libanais Jammal Samih ont été interpellés et écroués à la prison de Makala dans le cadre de l’enquête sur les 100 jours du Président de la République Félix Tshisekedi. Ambassades et ONG, habituées à monter au créneau chaque fois que le nom de l’homme d’affaires Dan Gertler est évoqué, brillent par leur silence.

Le constat est fait par l’ONG DGAOD dans une correspondance adressée le 25 février au Président de la République.
DGAOD, “déterminée à rétablir la vérité que les impérialistes ont pris l’habitude de cacher ou de déformer”, s’étonne que ONG et Ambassades ne saluent pas les interpellations judiciaires initiées par les autorités RD-congolaises afin de faire la lumière sur les chantiers inachevés des 100 jours ainsi les arrestations de David Blattner et Jammal Samih.

DGAOD condamne cette duplicité et déplore surtout l’acharnement de ces ONG et Ambassades, depuis des années, sur Dan Gertler, le seul qui réinvestit en République Démocratique du Congo, “jusqu’à obtenir des sanctions politiques injustes” à son encontre.

DGAOD pose à Félix Tshisekedi une série de questions dont celle de savoir ce que les impérialistes ont fait de concret en faveur de la République Démocratique du Congo, contrairement à Gertler dont ils profitent du silence pour justifier leur incapacité à apporter des solutions aux problèmes du pays.

À travers ce courrier signé de la main de son président, Patience Kabangu, DGAOD appelle à laver l’honneur de Dan Gertler et analyser le bien qu’il peut apporter à la République de part ses réalisations et ses investissements. Elle invite la communauté nationale à comparer l’entrepreneur d’origine israélienne à “tout homme d’affaires sérieux que ces ONG et Ambassades ont emmené… grâce à leurs rapports et câbles diplomatiques qui ne servent qu’à les positionner comme donneurs de leçons à nos dirigeants politiques”.

Natine K.

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