Sous le leadership du Chef de l’Etat Joseph Kabila, les deux autorités ont décidé de définir une stratégie commune pour rendre réelle et effective la lutte contre la corruption
L’opinion attend à ce que, grâce à ce duo Tshibala-Luzolo, les Kuluna en cravate puissent passer de mauvais moments dans les jours qui suivent, ainsi le coulage des recettes publiques puisse devenir un souvenir du passé. Ainsi, les efforts du Premier ministre et du Conseiller spécial du Chef de l’Etat auraient produit les résultats attendus.
Lors de son discours d’investiture, le Premier ministre Bruno Tshibala Nzenzhe avait rappelé les principes de lutter contre la corruption en rapport avec les 28 mesures d’urgence du gouvernement prises lors de la 8ème Réunion extraordinaire du Conseil des ministres extraordinaire du mardi 26 janvier 2016, présidée par le Chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange. Au cours de cette importante réunion du gouvernement, il a été question de chercher les voies et moyens pour combattre notamment la fraude fiscale et douanière, le blanchiment des capitaux, le détournement des deniers publics et la spoliation des maisons de l’Etat tant à Kinshasa qu’à l’intérieur de la RD-Congo. Le tout avec un seul objectif: renforcer la mobilisation des recettes de l’Etat pour permettre au gouvernement de réaliser ses deux grands objectifs, à savoir: l’organisation des élections et l’amélioration du social de la population.
Voilà pourquoi il est apparu nécessaire que le Premier ministre Bruno Tshibala Nzenzhe se rencontre avec le Conseiller spécial du Président de la République Joseph Kabila en charge de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption, Luzolo Bambi Lessa, jeudi 15 juin 2017 à la Primature. Sous le leadership du Chef de l’Etat Joseph Kabila, les deux autorités ont décidé de définir une stratégie commune en vue de rendre réelle et effective la lutte contre la corruption.
L’opinion espère que grâce à ce duo entre le PM Bruno Tshibala et le Conseiller spécial Luzolo Bambi, les Kuluna en cravate puissent passer de mauvais moments dans les jours qui suivent, ainsi le coulage des recettes publiques puisse devenir un souvenir du passé.
Christian BUTSILA
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